La police vient d’enlever le père d’une fille-mère, violée et engrossée par un prédateur de la ville…

M. TOLOSSI DABE Bienvenue, domicilié au quartier Welelé, arrondissement de Salapombé, a reçu tôt ce matin peu avant 06h15, la visite de trois policiers en service au Commissariat de Sécurité Publique de la place. Sans révéler au concerné les raisons de son interpellation, ils l’ont conduit à bord de leur pick-up au Commissariat de Sécurité de publique. Cependant, si Pour l’instant sa famille ignore les raisons de cette opération, une source bien introduite nous apprend qu’il y est placé en garde à vue. Les policiers l’ accusent d’avoir falsifié l’acte de naissance de sa fille, Mlle Agnès ANGONG. Mais qui est celle-ci? Agnès Angong est une fille-mère violée et engrossée à l’âge de 13 ans, puis abandonnée avec son nourrisson et plus tard narguée (Cf. le lien[1] d’illustration ci-dessous) par le Secrétaire Particulier (SP) du Sous-préfet de Salopombé. La justice qui suit de près cette affaire a récemment libéré provisoirement le SP, lequel aurait ces dernières semaines, multiplié des contacts de charmes assortis d’intimidation vers M. TOLOSSI DABE Bienvenue. Le but de ces gymnastiques étant probablement celui d’étouffer cette affaire, non sans compter avec la détermination et résistance de ce dernier qui plus tôt, n’a pas cédé aux manœuvres de l’Ex-Commandant-tortionnaire de Brigade Territoriale (CBT) de Gendarmerie de la même ville. Nous nous souvenons que dans le cadre des enquêtes instruites par le Procureur de la République autour de la même affaire, le CBT croyant contraindre le géniteur de la mineure-violée à abandonner les charges contre le SP, l’avait vainement placé en garde-à-vue toute la journée du 25 Mai dernier. Plusieurs mois plus tard, la question est de savoir comment est-on arrivé ce jour de l’an 2022, à l’hypothèse selon laquelle, M. TOLOSSI DABE Bienvenue, père de Mlle Agnès ANGONG a/aurait falsifié l’acte de naissance de sa fille ? Pour quel intérêt ? Avec quels moyens pour un analphabète ?
[1] https://psydh.com/2021/06/03/cameroun-region-de-lest-boumba-et-ngoko-salapombe/
filles de Salapombé, esclaves sexuelles sans défense aux mains des disciples de dracula
Il y a quelques jours, nous dénoncions[2] le Chef Centre Social qui n’a pas pu convaincre à changer d’avis ( du fait de son absence irrégulière au poste depuis Décembre 2021 lequel vient d’être rejoint 48h après notre dernière dénonciation) les parents de Christelle BOTO adolescente Baka, contrainte par ceux-là à abandonner l’École en pleine année scolaire. Et de nous étonner du silence du Sous-préfet qui aurait pu, puisque par moments lucide, nonobstant les fréquentes vapeurs alcooliques dans lesquelles il baigne au quotidien, s’impliquer. N’ a-t-il pas assez de pouvoir pour offrir à cette dernière, la possibilité de poursuivre ses études au sein de la prestigieuse École primaire bilingue de Yaoundé où elle est inscrite ? Que dire du soutien de ce même Chef de Terre, accordé au son SP dans l’affaire de viol de mineure qui l’oppose à Agnès ANGONG ? A quand l’interpellation du policier aux épaulettes étoilées ( nous nous abstenons pour le moment de révéler le nombre et la couleur desdites étoiles), qui ouvertement et sans décence, embarque depuis des mois et tous les soirs au quartier Tekelé, Mlle SAAT (prête-nom), une adolescente de 16 ans qui fréquente la classe de 3è au Lycée Classique de Salapombé? Est-il pudique et responsable pour ce fonctionnaire de ne ramener la naïve adolescente qu’ en matinée, une trentaine de minutes avant son départ pour le lycée ?
[2] https://psydh.com/2022/02/08/cameroun-est-boumba-et-ngoko-salapombe/