Mineure de 13ans, issue de la minorité ethnique Baka (pygmée) violée, engrossée et abandonnée par un Agent de l’État visiblement protégé.

NOUS DÉNONÇONS

  • Le  Service Social du Parquet  d’Instance de Yokadouma, qui aurait été informé du sort de cette mineure, mais est resté inactif ;
  • Le Secrétaire Particulier du Sous-préfet de Salapombé, quinquagénaire et ci-devant présumé violeur et cogéniteur du bébé (et maintenu  en  service, pourtant  déjà retraité) protégé par le  Chef de Terre  et le Chef Centre Social de Salapoumbé ;
  • Des allégations d’intimidations du père de la mineure par les autorités locales afin de le contraindre au silence : Cas du Commandant de la Brigade de Gendarmerie de la place qui lui aurait  infligé une gardé à vue  toute la journée du 25 Mai dernier et sans motif  valable ;
La mineure et son bébé

Mlle  A A, 14 ans 02 mois (née le 02 Mars 2007 à l’hôpital privé Catholique de Salapoumbé), domiciliée à Welélé,  arrondissement de Salapoumbé.  Élève (avant la grossesse) de 6è au Lycée de Salapoumbe, est depuis Décembre 2020, âgée de 13 ans 09 mois, mère d’un bébé né des œuvres de Monsieur NC. Cet homme apparemment aux crépuscules de la cinquantaine, a pris ses distances de cette mineure juste après l’accouchement et  apprend-on, des menaces de son épouse. Entre-temps, elle est sans ressources, affamée et obligée d’allaiter son bébé.

Mlle  AA, victime de discrimination(s) ?

Mlle  AA issue du groupe Baka, plus connu sous l’appellation de pygmée, paye là le prix de la discrimination dans un univers où la basoche locale feint ignorer ses droits. Elle est abandonnée à elle-même, elle pense n’avoir pas aucun de droit, convaincue comme les siens de la même minorité qu’ils n’ont pour seul devoir que celui de servir de main d’œuvre servile dans des champs des bantous, à défaut de se faire exploiter  comme objet sexuel. Si à 13 ans voire moins, Mlle  AA a pu subir sans défense des « assauts libidinaux » d’un féroce pédophile, quinquagénaire, Agent de l’État et qui malgré tout est resté  protégé par ses pairs, il faudrait bien se demander où l’on va ?

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