LES  FAITS

17/9/20M. Alhadji  Ibrahim, Cadre de l’Observatoire Droits de l’Homme et son épouse sont en désaccord. La crise prend une autre allure. Inquiet, il saisit la Brigade T. de Mora. L’Adjudant  Amengly (Maréchal-des-Logis Chef au moment des faits) est chargé de piloter les enquêtes. A la surprise de sieur Alhadji  Ibrahim, l’enquêteur prend position, le nargue, etc. plutôt que d’afficher sa neutralité. Au pire de tous les risques, l’enquêteur s’est introduit au domicile  de sieur Alhadji  Ibrahim et en son absence. Il y a soustrait des appareils et  un pantalon.
22/9/20L’arbitrage du Président du Tribunal est sollicité, mais les résolutions difficiles à accepter.
24/9/20  Le  Commandant de Compagnie demande à l’adjudant  Amengly de transférer ces appareils (illégalement soustraits de mon domicile) à la Compagnie de Gendarmerie. Ordre exécuté.
26/9/20Cette affaire est portée à la connaissance de la grande Chancellerie. La  Brigade T. Gendarmerie  est accusée.
23/10/20sieur Alhadji  Ibrahim saisit le Parquet d’Instance par une plainte contre l’Adjudant  Amengly
03/11/20Le Minetat / Minjustice au sujet du différend qui  oppose  sieur Alhadji  Ibrahim  à l’Adjudant Amengly, saisit le  Procureur Général pour diligences appropriées. Correspondance N° 010822
02/4/21sieur Alhadji  Ibrahim  est entendu à la Légion de Gendarmerie
06/4/21sieur Alhadji  Ibrahim  et l’Adjudant Amengly sont entendus au niveau de la à la Légion de Gendarmerie.de l’Extrême-Nord.
13/10/2021sieur Alhadji  Ibrahim se rend à la Légion, ; besoin de savoir la position de son affaire.  Trois faits l’y surprennent : (a) Aucune trace du dossier (b) L’Adjudant-Chef  Akendella, enquêteur est muté ailleurs (c) Les greffes du Tribunal Militaire supposés être la principale destination de mon dossier après la  Légion de Gendarmerie n’en n’ont jamais entendu parler. Le dossier aurait simplement disparu.
13/10/2021  Face au constat fait le  13 Octobre au niveau de la  Légion de l’Extrême-Nord, sieur Alhadji  Ibrahim saisit le  Procureur de la République et dénonce le folklore de cette unité-là.
19/11/21Une voix féminine appelle du Parquet d’Instance de Mora et   invite  sieur Alhadji  Ibrahim à  se présenter le 22 Novembre. Invitation qu’il rejette tant que celle-ci ne sera pas écrite.
24/11/21Pour la même affaire et en espace de 14 mois, le  Ministre d’Etat, Ministre de la Justice adresse une deuxième correspondance ( N° 012464) au Procureur  Général.
03/12/21sieur Alhadji  Ibrahim reçoit une Notification d’Huissier, l’invitant à se présenter « dès réception » au Parquet d’Instance de Mora. Il s’y plie et rencontre à tour de rôle  Mme  le  Substitut  N° 1 et le Procureur en personne. Il apprend des deux Magistrats que la Compagnie de Gendarmerie dit l’avoir (sieur Alhadji  Ibrahim) plusieurs fois convoqué pour enquêtes, mais en vain.  Le  Procureur l’invite à repasser  le 07 Décembre.  
07/12/21sieur Alhadji  Ibrahim se présente au Parquet et y passe une journée blanche. Et pour cause ? Son dossier est introuvable.
17/12/21Pas de suite. L’attente se poursuit.

Le Parquet d’Instance de Mora, la Légion de Gendarmerie de l’Extrême-Nord et la Compagnie de Gendarmerie de Mora dans la mafia 

ENTRETIEN

ALHADJI IBRAHIM

M. Alhadji  Ibrahim, que reprochez-vous  à toutes ces Unités de la Police Judiciaire ?

J’accuse  l’Adjudant  Amengly  d’avoir le 17/9/20, violé mon domicile  et en mon absence, emporté mes biens.  Jusqu’à lors, 15 mois plus tard, mes biens ne sont pas restitués selon les règles de l’art. Pendant ce temps, mon mariage a volé en éclats.

Avez-vous engagé des actions pénales contre lui ?

C’est la moindre des choses qui valent en 15 mois que dure cet imbroglio, deux sorties épistolaires du Ministre d’État,  Ministre de la Justice, demandant au Parquet Général d’en faire toutes les diligences possibles. A l’arrivée le résultat est nul.

Qu’est-ce qui ne va donc pas ?

J’accuse la Légion de Gendarmerie de l’Extrême-Nord, la Compagnie de Gendarmerie de Mora et le Parquet d’Instance de présumé complicité de mes malheurs et de déni de justice.

Comment arrive-t-on à cette conclusion ?

  • Le  Parquet est saisi par mes soins le 23 Octobre 2020. C’est le 03 décembre 2021 que je suis reçu par le Parquet qui m’apprend deux choses : (a) La Compagnie m’appelle depuis longtemps pour audition, mais je refuse de me présenter.  Ce qui est faux et ne peut pas être prouvé, leur dis-je.  (b) Mon dossier est introuvable jusqu’à cette date ( ndlr : 18 décembre). Comment mon dossier peut-il être à la Compagnie qui ment en disant qu’elle me convoque et je refuse de me présenter et le Parquet m’apprend que ce dossier est introuvable ? Pourquoi ne pas me renvoyer à la Compagnie pour me faire entendre si réellement, mon dossier y avait été transmis pour enquêtes ?
  • La Compagnie de Mora détient mes appareils volés / emportés par l’Adjudant  Amengly qui est muté de Mora pour une Unité dans la Région du Centre. Et je me demande, pourquoi la Compagnie a-t-elle laissé partir mon bourreau et présumé tapeur-du-dos  alors qu’elle aurait pu créer des conditions de résolution pacifique de cette crise ?
  • La Légion de gendarmerie  m’a entendu deux fois : Les 04 et 06 Avril 2021. Mais curieusement mon enquêteur est muté ailleurs sans donner suite à mon dossier qui est introuvable. Rendu au Tribunal Militaire, j’ai appris que ce dossier  y est inconnu des greffes.

Vous parlez de « présumé complicité de mes malheurs et de déni de justice », et pourtant chacune de ces Instances a un mode de fonctionnement bien défini. Comment donc les mettre toutes dans le même sac, leur reprochant les mêmes maux, la mafia ?

Comment voulez-vous que l’on interprète le refus de ce système judiciaire de donner suite aux instructions de la Grande Chancellerie qui deux fois de suite a levé la voix ? Comment voulez-vous que je ne puisse me plaindre alors que partout où le dossier est passé, on m’y apprend qu’il est INTROUVABLE ? Le Parquet a-t-il besoin d’attendre 15 mois sans avoir pris en compte mes cris et douleurs ? Plus loin,  lorsqu’il fallait nuire à  Abraham Mahama dit  Badja mon collaborateur injustement condamné par ce Tribunal mais acquitté, ce sont des gendarmes de la BTG de Mora qui sont précipitamment allés le chercher  et jeter en cellule, c’est un Parquet d’Instance qui lui aussi a violé certains aspects de la procédure.  Pourquoi donc ces mêmes Instances n’agissent-elles pas en ma faveur, avec la même promptitude et diligence ?

Qu’entendez-vous faire maintenant ?

Poursuivre ma dénonciation du  soutien incestueux de mon bourreau par ses frères d’arme de la gendarmerie et par le Parquet d’Instance de Mora, le tout  au grand mépris du Minetat / Minjustice.

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