Une mineure d’environ 15 ans et sa maman placées en garde-à-vue depuis hier 1er Juillet 2019 peu après 12h, au Commissariat de Sécurité Publique de Mora.
- Pourquoi cette privation des libertés est-elle inacceptable ?
- Ce que le Parquet d’Instance n’a pas cherché à savoir ;
- Les raisons pour lesquelles le plaignant devrait être poursuivi et les gardées-à-vue libérées sans condition..

LES FAITS EN BREF
- M.M, sexagénaire entreprend depuis 2016 des négociations dans le sens d’épouser mademoiselle KALTOUMI, âgée environ de 12 ans et non scolarisée.
- Il offrira de manière quasi régulière des dons en nature et en espèce aux proches parents de la mineure, sans que tout cela ait la forme ou le volume de ses attentes. En d’autres termes, les dons qu’on assimilerait à la dot restent aux yeux de la famille de KALTOUMI, très insuffisants.
- M.M qui croit le moment venu de célébrer le mariage coutumier se voit servir le refus de la famille. Puis vint le jour où il décide de s’en passer, non sans exiger le remboursement de la dot.
- La famille face à la pression, rembourse dans un premier temps la somme de cent mille francs sur cinq cents exigés. La Brigade Ter. De Gendarmerie de Mora aurait servi de biais à cette opération.
- La pression monte et la famille au fur et à mesure que le temps passe, affiche des signes d’essoufflements.
- Faute d’avoir versé le reliquat exigé par M. M, la mineure KALTOUMI et Mme FADI sa maman sont placées en garde-à-vue au Commissariat de Sécurité Publique de Mora.
LES LIMITES DE L’INITIATIVE DE M. M.
- Dans l’imaginaire de dame FADI, le remboursement de cent mille francs s’inscrit dans le cadre de la restitution de l’Avance de la dot.
- Toutes autres dépenses en nature ou en espèces, relèvent des dons librement offerts sans la moindre demande.
- Suite à nos enquêtes, il se trouve que M. M. ait plusieurs fois, consommé l’acte sexuel avec la mineure au cours de ces trois dernières années. Et logiquement, nous sommes en droit de penser que la jeune et naïve KALTOUMI est désormais vidée de son « nectare ». On peut se passer d’elle et se livrer à d’autres conquêtes. Et de là, exiger le remboursement de ce que l’on a librement offert, après avoir « utilisé » ou mieux abusé d’une mineure naïve, nous semble inacceptable.
- Que disent les textes lorsqu’un qu’un adulte « embarque » une mineure de moins de 15 ans ?
- Comment comprendre que le Parquet d’Instance ait cautionné la démarche d’un homme qui estime avoir tout fait mais en vain, pour épouser illégalement une fillette qui, au moment des faits, n’avait que 12 ans ?
- Derrière cette affaire, se cachent des Renards-fascinateurs résolus à exploiter dame FADI, très heureuse héritière qui a reçu il y a peu, une part très importante de l’héritage familial…Les chefs traditionnels qui rôdent autour l’ont affirmé en privé, lorsque l’un déclare : « Pourquoi refuse-t-elle (FADI) de rembourser, alors qu’il suffit simplement pour elle, de vendre une partie de ce qu’elle a reçu en héritage ? »
NOTRE SOUHAIT
- Mme FADI et sa fille KALTOUMI devraient être mises en liberté sans condition ;
- M. M. poursuivi pour détournement de mineure.