Mme M.
Je prends la mesure de votre préoccupation. Voici 25 ans que votre époux a disparu, laissant à votre charge plusieurs enfants. Je comprends les raisons pour lesquelles vous avez décidé, face à l’adversité, de vous engager dans la foi. Vous êtes devenue avec vos enfants, des chrétiens « nés de nouveau ». Je constate qu’en plein chemin, un quart de siècle plus tard, vous ayez de la peine à comprendre les raisons pour lesquelles certains de vos enfants bardés de diplômes traînent et continuent de dépendre de vos économies au moment où d’autres, disposés à procréer, éprouvent toutes les peines à se marier et à faire des enfants.
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