- MAHAMA ABBA BOUKAR, Commerçant à Mora, a acquis le 10 juillet 2010, des « droits légitimes et légaux sur une parcelle de terrain » située à quelques encablures du CES de Mora-Massif.
- M. D, fonctionnaire (des Domaines et Affaires Foncières ?) en Service à Yaoundé, s’est curieusement, subrepticement et violemment infiltré dans cet espace et a procédé à l’immatriculation d’une parcelle du terrain de sieur MAHAMA ABBA BOUKAR et de celle de son voisin M. MADAVA MAKOULA
OBSERVATION
- A la demande d’un des fils de MAHAMA ABBA BOUKAR, domicilié ici à Yaoundé, nous nous sommes impliqués dans cette affaire aux relents suspects dans sa gestion. Et notre investigation bien pénétrée nous a permis de comprendre que MAHAMA ABBA BOUKAR le père de l’autre, a toujours observé scrupuleusement la procédure officielle prévue en la matière.
- M. D. par contre démontre à travers ses actes, que le Service Départemental des Domaines et Affaires foncières du Mayo-Sava serait sa marionnette qu’il peut utiliser comme bon lui semble. Toutes preuves contraires, nous laisseraient méthodiquement dubitatifs.
PRÉSOMPTIONS DE CORRUPTION
Le lugubre exploit que M. D. réalise en procédant à l’Immatriculation des terrains d’autrui, étale 05 grandes faiblesses qui méritent d’être dénoncées de vive voix.
(a) La violation de la procédure (voir décret N° 2005/481 du 16-12-2005) qui exige entre-autres étapes, trois au moins ci-dessous énumérées :
- Dépôt de Demande à la Sous-préfecture qui en délivre un Récépissé.
- Service Départemental des Affaires Foncières qui publie le programme de descente de la Commission Consultative ;
- Commission Consultative qui fait le constat.
(b) Comment peut-on comprendre la légendaire prouesse de M.D qui a réussi à immatriculer le terrain d’autrui, alors que les étapes qui précèdent au point (a) l’en auraient empêché ?
(c) Si notre analyse est erronée, est-il à même de brandir (comme c’est le cas de sa victime, voir Annexe jointe) entre autres pièces : Son récépissé de Dépôt, une Copie du Programme de descente de la commission consultative ?
(d) Et s’il venait à le faire, nous en doutons, (aux risques de prouver que la sous-préfecture elle-même aurait perdu le Nord) comment décrirait-on ces géomètres d’essence astrale, véritables extra-terrestres qui ont réussi à faire la levée topographique sur ce terrain, à l’insu des riverains encore moins du Chef de quartier ?
(e) Comment est-il arrivé que la levée topographique ait pu être faite sur une aire supposée connue d’eux, puisque appartenant à MAHAMA ABBA BOUKAR, dont l’authenticité des documents brandis jusqu’à lors, ne souffre d’aucune entorse ? MADOUVA MAKOULA, pauvre paysan, et deuxième victime de M. D, pouvait-il seul se défendre face à cette injustice encadrée de brillants avocats de Justice, friands de gain ?
POURQUOI LA COMMISSION ADMINISTRATIVE AD HOC MISE SUR PIED APRÈS LA REQUÊTE DE MAHAMA ABBA BOUKAR PANIQUE T-ELLE ?
Descendue sur le terrain litigieux en Juin 2017, cette COMMISSION présidée par le Préfet (représenté à l’occasion par le 2è Adjoint), était composée des membres ci-dessous désignés :
- 2è Adjoint Préfectoral ;
- Sous-préfet de Mora ;
- Commandant de la Compagnie de Gendarmerie de Mora ;
- Commissaire de Sécurité Publique ;
- Un (1) Agent des Domaines.
OBSERVATIONS :
- MAHAMA ABBA BOUKAR avait versé la somme de cent mille francs à la COMMISSION avant qu’elle ne se déplace.
- Le principe de bienséance administrative voudrait que MAHAMA ABBA BOUKAR ait eu une Copie du PV de descente de ladite COMMISSION. Que non, après moult rendez-vous jamais honorés, le 2è Adjoint Préfectoral refuse de le lui remettre, au prétexte qu’il le ferait de son propre chef à son Avocat, celui du requérant (MAHAMA ABBA BOUKAR) ; Encore faudrait-il savoir si jamais un tel PV ait jamais existé dans une logique de flou et d’opacité qui hante cette histoire.
- Devrait-on valider les confidences que des riverains informés de la descente de cette COMMISSION nous ont faites ? Pour certains l’effectivité de ladite descente est remise en question, pendant que d’autres estiment que sa composition n’était pas complète et que l’équipe descendue sur les lieux, n’y a pas passé plus de deux minutes ? POURQUOI PANIQUE-T-ELLE DONC ? POURQUOI REFUSE-T-ELLE DE DÉLIVRER LE P.V SUBSÉQUENT ?
Archives – ODH-2017